Air de qualité: un nettoyage de conduit de ventilation s’impose
Les gens sont au fait des risques et des inconvénients liés aux environnements malsains, notamment en ce qui concerne l’air à l’intérieur des bâtiments. Ils y sont aussi plus sensibles.
Si les propriétaires et les commerçants se doivent d’accorder une grande importance aux systèmes de traitement et de filtration de l’air, il leur faut aussi ne pas négliger le nettoyage des conduits de ventilation. Ce type d’entretien est déterminant pour la fidélisation des clients et pour la productivité du personnel.
Nettoyer l’inapparent pour aspirer à la qualité
La bonne qualité de l’air intérieur (QAI) dépend d’un apport adéquat d’air frais, lequel est «conditionné» par une ventilation mécanique efficace. À cet égard, il existe plusieurs systèmes: à simple extraction, à simple alimentation et équilibré.
Pour le secteur commercial, les systèmes équilibrés sont de mise: non seulement ils assurent des débits d’air balancés à l’admission et à l’extraction, mais ils intègrent plus efficacement les dispositifs (échangeur, récupérateur, climatiseur, filtreur, élément chauffant, humidificateur) nécessaires à un maximum de confort.
Tout ce traitement intégré de l’air repose également sur un réseau de conduits de ventilation. Comme beaucoup d’air y circule sur de longues distances dans les édifices, que les filtres des systèmes ne captent pas tout, que les réglages peuvent ne pas avoir été faits correctement, la question plus prosaïque du nettoyage des conduits de ventilation demeure. En fait, ce type d’entretien est ce qui garantit fondamentalement un air intérieur de qualité.
Pourquoi?
Parce que les systèmes de ventilation (aspiration, retour) font des conduits des espaces d’accumulation potentielle (et, le cas échéant, des vecteurs de diffusion) d’éléments nuisibles à la santé.
Poussières, allergènes, moisissures, polluants chimiques… s’y déposent. Il faut voir ces éléments comme des résidus dont la concentration augmente avec le temps et qu’il faut évacuer du système à intervalle rapproché et régulier.
Ne laissez pas votre immeuble être associé au SBM
La QAI n’est pas une mesure ou une norme théorique, un genre d’idéal éloigné des réalités commerciales. Au contraire, c’est quelque chose de très concret et dont l’importance se révèle rapidement lorsque l’air intérieur n’est pas, justement, de qualité.
Des symptômes apparaissent chez les gens après leur quart de travail ou après quelques heures passées en commerce. Les symptômes disparaissent plus ou moins rapidement après avoir quitté les lieux.
On parle de congestion des sinus, d’essoufflement, de maux de tête, de nausée, de fatigue, de sécheresse de la gorge, d’irritation des yeux, etc. À long terme, les effets néfastes sur la santé des consommateurs, des travailleurs ou des résidents exposés s’amplifient et peuvent causer des maladies pulmonaires, l’asthme par exemple.
Une routine de nettoyage de chaque conduit de ventilation s’impose si l’on veut prévenir ces problématiques de santé, coûteuses en terme de productivité au travail et d’image.
Beaucoup d’études ont documenté les impacts de l’air intérieur vicié. Assez que les termes «syndrome des bâtiments malsains» (SBM), «syndrome des édifices hermétiques» (SEH) et «Building Related Illness» (BRI) sont utilisés.
Ce qui n’est pas surprenant quand on apprend ce que des conduits de ventilation privés de nettoyage peuvent contenir comme contaminants: dioxyde de carbone, fumée, ozone, parfum, COV, contaminant microbien, champignons, bactéries, fibres de verre, amiante, formaldéhyde, vapeurs toxiques, solvants, désinfectants, acariens, etc.
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